Une bouteille de Coca sur la lune! l'argument de la vidéo What happened on the Moon? Beaucoup de téléspectateurs, dont Una Ronald, ont eu une expérience extraordinaire. Una Ronald Quand Apollo s'est posé sur la lune, j'ai décidé de regarder la retransmission en direct. Sur l'écran, nous voyons beaucoup d'activité dans le centre de controle, beaucoup d'anticipation, d'excitation... Avant d'apprendre ce qui s'est passé, nous devons savoir comment les images télévisées d'Apollo 11 étaient sensées atteindre nos écran. Bill Wood Juste un peu avant qu'Armstrong ne marche sur la lune, on peut voir que le signal est permuté quand l'image passe d'un noir et blanc très contrasté à quelque chose de mieux. Ils ont falsifié le signal télévisé depuis la station australienne Honeysuckle Creek. Quand Armstrong a posé le pied sur la lune, le signal arrivait bien en australie, mais au même moment on a déclaré qu'il arrivait à Goldstone, en Californie. Les voix sont passé par Goldstone, mais les images télé venaient d'Australie. Il semble que l'on ait refusé de communiquer les informations exactes concernant la retransmission télé d'Apollo 11. Alors que je regardais cet homme marcher, je vis une bouteille de coca en bas à droite de l'écran. Elle semblait avoir été balancée à travers la scène. Pour moi, c'était effarant, en voyant ça j'ai crié: "C'est une farce, ils ne sont pas sur la lune. Regardez, c'est une bouteille de Coca!". Ils ont rediffusé ce film le matin, j'ai appelé plusieurs amis pour savoir s'ils l'avaient vue. Mais ils n'avaient pas regardé et regarderaient la rediffusion du matin, et j'attendais pour leur demander s'ils l'avaient enfin vu, mais ça ne s'est pas produit quand j'ai regardé la deuxième diffusion. Il n'y avait pas la bouteille, ce qui m'a fait croire à l'époque que le passage avait été retiré. J'étais convaincue que c'était faux, mais pourquoi? Pourquoi falsifier? Deux ou trois de mes connaissances l'ont vu, de plus des lettres ont été écrites au journal West Australian mentionnant la bouteille de Coca. J'ai grandi, je ne voulais pas devenir une énergumène radotant cette histoire de bouteille, et rien ne s'était passé, rien du tout. Je pense que ceux qui l'ont vue ont dénié leur propre perceptions. Ils ont du se dire qu'ils n'avaient pas pu voir ça, ou qu'ils l'avaient vu, mais que c'était un déchet jeté depuis l'astronef, des choses comme ça... Les gens inventent toutes sortes de raisons à l'inexpliqué. Ce qu'Una Ronald et ses amis ne savait pas, est que l'ouest de l'Australie était un cas spécial concernant la réception des premières images d'Apollo. Contrairement aux procédures pour ce continent adoptées par Honeysuckle Creek et Parkes avec la NASA et la télé Australienne, les images d'Apollo 11 n'ont pas été transmises directement à l'ouest australien par Satellite. Il n'y avait pas non plus de gros cable depuis Sydney en 1969. Ces images ont du être envoyé depuis Sydney par d'autres moyens puis retransmises localement. Pendant ce processus, un ingénieur alerté de la fausseté de la retransmission en direct, aurait eu des motifs pour ajouter des éléments à la scène. De plus c'était une occasion révée, pour quelqu'un d'au courant, de mabipuler ces images pour toute l'autralie de l'Ouest EN RÉALITÉ C'est un fait, que plusieurs antennes paraboliques captaient les signaux d'Apollo, et il est logique que pour une retransmission mondiale, on ait choisi les meilleurs signaux. Le reste est absurde. Les images n'auraient pas été transmises à Perth par satellite ni par cables, mais enregistrées et transmises par d'autres moyens? Quels moyens? Tant qu'à dire des bétises, osons une hypothèse. La bobine fut placée dans la poche d'un Kangourou, qui, sachant que sur la lune, Aldrin faisait le kangourou, courut ventre à terre à Perth apporter les précieuses images. Cette hypothèse n'est pas moins stupide, mais elle a le mérite d'être drole Pour ce qu'on en sait, les images furent bien transmises par satellite. La nuance, c'est que les australiens bénéficièrent d'images directement transmises depuis les stations d'Honeysuckle, et de Parkes, alors que les américains réçurent les mêmes images par le biais d'un satellite Et puis, qu'est ce qui aurait bien pu alerter un ingénieur australien de la fausseté de ces images? Et comment aurait il pu insérer une telle image dans un signal analogique? A l'époque, on savait déja insérer des images dans une zone fixe d'une autre image , mais ça ne trompait personne. Nos auteurs ont l'air de confondre les techniques de traitement analogique de 1969, avec les techniques de traitement numérique de l'an 2000 Quand à l'anecdote de la bouteille de coca, visible lors de la première retransmission à Perth, et invisible partout ailleurs, c'est une aimable plaisanterie Remarquons d'abord la qualité de la source: nos auteurs ont du aller jusqu'en australie de l'Ouest, pour trouver une dame, dont la seule référence scientifique, est qu'elle regardait la télévision alors qu'elle était teen-ager! Ensuite, cette "bouteille de coca", jetée à travers la scène, n'est pas un trucage rajouté par un ingénieur australien: Elle figure toujours dans la vidéo conservée par le site de la NASA, comme nous pouvons le voir, dans cette animation montée en boucle Nous voyons bien, en effet, Une sorte d'objet oblong, dans lequel l'imagination d'une jeune fille de culture anglo-saxonne peut voir facilement une bouteille de coca D'autre part, ce détail de la scène de dure qu'une seconde, et exige pour être perçu, qu'on regarde au bon endroit au bon moment. Rien d'étonnat à ce que le lendemain, Una Ronald ne l'ait pas revu Mais au fait, qu'est ce que c'est? on voit une sorte de tache allongée qui décrit une courbe en changeant de forme. On peut remarquer qu'à gauche, dans une position symétrique par rapport au centre de l'écran, le scaphandre d'Aldrin reflète une violente tache de lumière, qui décrit elle aussi une courbe. Il ne faut pas chercher l'explication plus loin: c'est très probablement un "lens flare", un reflet dans l'objectif de la caméra comme il a été démontré sur un autre site Manifestement, nos auteurs n'ont pas visionné la vidéo de la NASA, et préfère se raccrocher au témoignage d'Una Ronald, qui leur permet d'inventer de toutes pièces un whistle-blower australien, qui vient opportunément conforter leur thèse Mais voila, il se sont tiré une balle dans le pied, car pour ce faire, ils ont du admettre que les signaux d'Apollo étaient reçus en même temps à Goldstone, en Californie, et à Honeysuckle Creek, en Australie, c'est à dire, des deux cotés de l'Océan¨Pacifique Ceci nous est confirmé par une carte visible sur le site de la station d'Honeysuckle Creek, carte que nous pouvons comparer à une simulation du logiciel Celestia, montrant la Terre vue depuis la lune, à ce moment là On voit que Goldstone et Honeysuckle Creek sont simultanément visibles depuis la lune, alors que depuis une orbite basse, une seule de ces stations aurait pu capter les signaux d'Apollo, et encore, pendant quelques minutes seulement. Donc nos auteurs se contredisent: Tantôt ils nous assurent qu'Apollo n'a jamais dépassé l'orbite basse, tantôt, ils admettent qu'Apollo était à la distance de la lune, et ceci pour démonter qu'un ingénieur avait compris qu'il n'y était pas! Remercions nos auteurs d'avoir inséré cette preuve de leur duplicité. ... à moins qu'il ne s'agisse d'un whistle-blower