1974 Ralph Blum suit la filière Gabaliste Sometime during the reign of Charlemagne, around AD. 800, Agobard, bishop of Lyons, saved four innocent people from being stoned to death by their fellow citizens because they had been seen falling from aerial ships. The three men and a woman had, so the story goes, been carried away by miraculous men who had shown them unheard-of marvels and told them to return and tell what they had seen. The citizens of Lyons, however, were convinced that they were sorcerers, and only the bishop’s pronouncement that (1) the people had not fallen from the sky, and (2) what they said they had seen was impossible, saved their lives. Au temps du règne de Charlemagne, vers l'an 800, Agobard, évêque de Lyon, sauva quatre innocents d'être lapidés par leurs concitoyens parce qu'on les avait vu tomber de navires aériens. Les trois hommes et une femme avaient été enlevés par des hommes miraculeux qui leur avaient montré des merveilles inouïes et leur avaient dit de revenir et de raconter ce qu'ils avaient vu. Les citoyens de Lyon, cependant, étaient convaincus qu'ils étaient des sorciers, et seule l'affirmation de l'évêque que (1) ces gens n'étaient pas tombé du ciel, et (2) ce qu'ils disaient avoir vu était impossible, leur sauva la vie. SOURCE: Ralph Blum, Beyond earth, Bantam books, 1976, p. 42, (C) 1974 Remarques: Le fait que les quatre innocents aient été "enlevés par des hommes miraculeux qui leur avaient montré des merveilles inouïes et leur avaient dit de revenir et de raconter ce qu'ils avaient vu" montre clairement que la source initiale est la fiction de Montfaucon de Villars. Elle est même asez bien suivie, puisque les innocents y doivent la vie à l'impossibilité, prononcée par l'évêque, de ce qu'ils avaient vu. Il reste à savoir quelle est la source effective. Ce n'est pas Desmond Leslie, puisqu'il ne fait pas intervenir Agobard. C'est peut être tout simplement une traduction anglaise du "comte de Gabalis", auquel cas, après tant d'autres, l'auteur n'aurait pas compris que ce n'est qu'une fiction.