Les "ummites" découvrent la terre 1934 fut vraiment une année historique pour les contacts extraterrestres. Cette année-là, "Emen Ys" découvrait dans des jarres des documents qui lui apprirent l'existence de la civilisation bâavienne. Donc, Entre le 4 et le 8 février 1934, un navire norvégien se dirigeant vers Terre-Neuve faisait des essais de transmission en morse sur 413,43877 MHz (ce qui correspond à 72.5 cm de longueur d'onde). C'était à peu près les plus hautes fréquences qu'utilisait Marconi à la même époque sur son yacht "Electra", sauf que lui n'escomptait pas des liaisons sur 2000 miles, mais sur 100 seulement. Et la puissance d'émission n'était que de quelques dizaines de watts. A cette fréquence, les ondes commencent à pouvoir traverser l'ionosphère terrestre, surtout en période de faible activité solaire. C'est pourquoi, après le délai réglementaire de 14 années de parcours, donc vers mars 1948, la Centrale de XANMODAIUVA des "ummites", un peu l'équivalent de notre radiotélescope d'Arecibo, aurait capté l'émission pendant 6.83 mn
Certains en déduisent que c'est un argument contre l'hypothèse d'une mystification, car il eut fallu disposer d'ordinateurs pour faire les calculs nécessaires. Que non pas!. Un simple "planiciel" suffit, or on disposait déjà en 1967 de planiciels réglables en longitude et latitude . D'ailleurs, on n'a même pas besoin de planiciel, et si l'on est à la latitude de Terre Neuve, on peut se contenter de regarder dans quelle direction se lève la constellation de La Vierge Le problème est ailleurs. Il est dans la puissance d'émission. Un cargo ne peut embarquer une station radio émettrice comparable aux stations de radiodiffusion. Il ne dispose ni de la puissance, ni des antennes nécessaires. En 1935 le paquebot "Normandie" disposait d'une puissance d'émission de 500 watts pour le trafic maritime, et de 2.5 kw en ondes longues et moyennes pour le trafic télégraphique des passagers, mais au prix d'une installation pesant 16 tonnes! (1) Faisons semblant de les croire, sinon l'histoire s'arrêterait là.
Comme il n'y avait que deux types de digit, ils crurent à un codage en binaire. L'interprétation la plus vraisemblable était l'expression analytique d'un carré. C'est pourquoi ils baptisèrent la Terre « Planète du carré» (Oyaagaa). Les autochtones ayant sans doute utilisé un code à base de figures géométriques simples.
Et puis pourquoi n'avez vous pas détecté Uranus, qui est aussi grosse que Neptune? Hein? Le grand conseil ummite (Ummoaelewe) décida immédiatement l'exploration de notre système. Il fallu tout de même attendre 248 jours terrestres, pour que la distance (variable) de la terre, soit suffisamment réduite. Deux oawoolea uewa emportant 12 "ummites" chacune partirent en mission (cela devait donc être vers novembre 1948) On peut s'étonner quand même, que, la terre étant sous surveillance, les "ummites" n'aient rien détecté d'autre en 8 mois que l'émission de ce cargo. Il n'y avait tout de même pas que les cargos norvégiens qui trafiquaient sur ondes courtes, et tout signal envoyé d'une antenne pour ondes courtes braquée vers l'Est-Nord-Est aurait pu tout aussi bien être détectée... si l'on admet que les "ummites" étaient capables de détecter un signal d'intensité nulle
Les "ummites" explorent notre système solaire Arrivés en vue de Neptune, les "ummites" détectèrent une profusion d'émissions électromagnétiques en provenance de la Terre. Bizarre qu'ils aient pu détecté cette profusion sans une antenne spéciale de grand diamètre, mais ils venaient déjà de détecter l'émission d'un cargo à 14 années lumière de distance, et détecter les émissions terrestres sans antenne, c'était rien du tout à coté.
Il semble que les "ummites" aient trop fait confiance aux articles de vulgarisation terrestres. Les livres d'astronomie des années cinquante couvraient Mars de lichens. On trouve en 1965 un résumé des croyances terrestres sur la vie et la végétation martienne dans les articles commentant la mission Mariner IV (3). On y évoque une future mission Voyager, doté d'une capsule devant se poser sur la planète pour y détecter la vie. Mais les expériences Viking de 1976 n'ont pas détecté la vie. Et les différentes sondes qui se sont succédées sur le sol martien nous ont toutes transmises des images d'un désert de cailloux. Et les satellites de Mars? Silence radio. Les "ummites" étudient la terre Le 7 janvier 1949, les engins "ummites" se placèrent sur une orbite terrestre hélicoïdale de 337 km de périgée et de 398 km d'apogée. Ils commencèrent par survoler l'Amérique et l'Asie du sud. Les nuages leur permirent seulement de détecter les voies ferrées qu'ils prirent d'abord pour des canalisations.
Durant les 86 UIW (Ndt:4 h 25') que dura l'analyse [on put descendre à une hauteur de 0,62 KOAE (5,394 kms) sur une zone identifiée ensuite comme étant le sud-ouest de la République Helvétique (SUISSE), on capta des images de centres urbains et industriels ainsi que des noeuds ferroviaires, concentration de flore (Forêts et plantations) , structures flottantes sur l'océan Atlantique et des fragments de cours d'eau et de multiples échantillons de gaz atmosphériques à différents niveau d'altitude. Nous conservons encore comme curiosité historique l'image obtenue d'une des rues de la petite ville de MONTREUX (SUISSE) sur laquelle on voyait les premiers individus humains captés par nos équipements. Les traits confus n'empêchèrent pas cependant l'analyse des éléments physiologiques fondamentaux et la morphologie du vêtement. Devons nous comprendre que la Suisse est baignée par l'océan Atlantique? Non, en fait, il s'agit d'une erreur dans les fermetures de parenthèse. Mais on peut s'étonner qu'à Montreux, il n'aient remarqué ni le curieux château, ni même le lac Léman. Munis de ces précieux documents, ils rentrèrent sur Ummo où le récit de leurs investigations fut reçu avec l'émotion qui convient. Les savants ummites analysèrent l'image qui montraient les premiers Terriens et discutèrent pour déterminer à quoi on reconnaissait les hommes des femmes et comment ils s'habillaient. C'était important car les Ummites auraient à s'habiller comme eux. Il fallait retourner sur Terre. Bien entendu, l'attitude serait pacifique, sauf en cas d'attaque. Remarquons que le texte "canonique" de la lettre dit qu'Oddioa-1 est fils d'Adaa-65 et donc frère d'Adaa-66. Mais alors comment Adaa-66 ppourrait il avoir un frère de 56 ans son aîné? Encore un mystère qui n'a pas l'air d'avoir ému les ummologues, qui pourtant ont pieusement compilé la généalogie ummite, en un document qui évoque la litanie des patriarches bibliques. Ou la copie "canonique" est altérée, ou les "ummites" ont diffusé plusieurs versions, en ayant lu trop de romans de Ponson du Terrail (grand spécialiste du cafouillage chronologique). Les "ummites" débarquent sur terre
Heu... 7336 m descendus en 21 s? Ca fait 1258 km/h, manifestement, "ils" continuent à dire des conneries pour voir si nous suivons Une fois au sol, et apparemment intacts, les expéditionnaires attendirent une heure (c'était bien la peine d'être si pressés) devant leurs détecteurs infrarouges qui devaient les prévenir de l'éventuelle arrivée d'humains. Comme rien ne se passait, quatre valeureux "ummites" mirent le pied dehors (c'était un petit pas pour eux, mais un grand pas pour l'ummanité). Ils passèrent une demi-heure à sonder le sol pour détecter d'éventuelles habitations souterraines, recueillirent quelques plantes et insectes, puis ils entreprirent de creuser un abri, sous forme d'une galerie de quatre mètres de long, à huit mètres de profondeur. Pour ne pas signaler leur présence par des déblais... ils les transmutèrent tout simplement en un isotope de l'azote! Hé ho! Doucement avec l'environnement! En supposant une masse spécifique de 3 tonnes au mètre cube, et une galerie cylindrique de 2 mètres de diamètre, ce qui parait un minimum, les "ummites" ont du transmuter environ 37 tonnes de roches en 29600 mètres cubes d'azote, en consommant en quelques heures autant d'énergie qu'une centrale nucléaire pendant toute sa durée de fonctionnement. Vous imaginez la radioactivité! Tchernobyl, à coté c'est de la rigolade. Et tout ça avec un réacteur nucléaire portable, sorti de la boite à outil de leur uewa! Les engins allèrent se cacher dans un petit bois (dont les arbres étaient assez clairsemés cependant, pour laisser passage à 3 engins de 12 mètres. Mais rappelons que le seul engin ummite jamais photographié ne faisait que 25 cm). Le jour se leva révélant le paysage terrestre aux yeux des explorateurs. C'est ainsi qu'ils comprirent l'origine des mystérieuses lumières vues la nuit, et qui venaient de Digne et de La Javie. Leurs instruments d'optique leur révélèrent la cathédrale de Digne et les premiers êtres humains. Le 29 mars à 11 h, les astronefs repartirent vers Ummo, laissant sur Terre quatre hommes et deux femmes. Comment repartirent-ils puisque, si nous savons compter, il n'y avait plus personne pour les piloter? Eh bien, c'est là qu'on apprend l'existence d'un équipage de trente membres, ce qui avec les explorateurs, faisaient douze personnes par engin! Douze personnes qui devaient passer plusieurs mois dans leurs baignoires thixotropiques anti-g, c'est à dire dans une véritable boîte à sardines, surtout si l'on tient compte du fait que la taille réelle de l'engin est d'environ 25 cm! "Ils" continuent de nous prendre pour des... Après avoir poursuivi l'aménagement de la galerie, les explorateurs commencèrent à étudier leur environnement immédiat. Une des premières choses que découvrit Adaa-66, le sociologue, fut un vieux journal. sali de matières fécales et environné de mouches. Il ramena aussitôt son trésor dans la galerie, où l'on entreprit son examen, analysant la texture du papier, l'encre... et la matière fécale, dont la présence constituait une énigme. l'hypothèse la plus crédible lui attribuait un caractère rituel. Ce détail, (qui a fait éclater de rire le si pondéré Evry Schatzman) est visiblement un clin d'oeil à ceux qui n'auraient pas encore compris qu'"ils" se payent nos tètes... Les "ummites" volent les terriens! La nuit du 24 au 25 avril 1950, l'histoire vire au fait divers de dernière catégorie: les Ummites cambriolèrent une ferme, située à environ 17 km de leur galerie. A côté de l'inventaire des objets volés, celui de Prévert fait presque pâle figure: Ben voyons! Une fois de plus, les "ummites" nous prennent pour des c....
Claude Poher, fit des recherches dans les archives de la gendarmerie. Il crut trouver la trace d'un vol de compteur électrique dans la bergerie du Défend, près de Tartonne. Quand à ses habitants on les aurait retrouvé dans des villas de la cote d'azur, mystérieusement enrichis...
les enquêteurs espagnols du groupe U3 lurent la presse de l'époque, se renseignèrent auprès de l'Edf, des archives départementales, de la gendarmerie de La Javie, de la mairie. Ils ne trouvèrent pas trace de "La dépense de La Javie". leurs recherches les menèrent à "La Pommeraie", près du sommet de Pompe, mais le cambriolage qui y avait eu lieu n'avait rien à voir avec le vol d'un compteur électrique en 1950. Ils revinrent bredouilles C'est finalement les bavardages d'un coiffeur, qui aurait permis de retrouver la bonne piste. Il se souvenait d'une maison cambriolée vers 1950, dont le propriétaire était arrivé au village pieds nus: on lui avait volé une liste invraisemblable d'objets, dont le compteur électrique. Mais voila, le brave homme mourut sans qu'on ait pu le questionner Donc cet invraisemblable cambriolage aurait bien eu lieu tel que les "ummites" l'ont décrit. Et de plus, la ferme en question se trouve effectivement à environ 17 km du prétendu lieu d'atterrisage (la montagne du Martignon). Mais que cela prouve-t-il? Qu'il connaissaient, comme le connurent les habitants du village, l'inventaire des objets volés. Les objections sur la nature et les circonstances du vol demeurent. On a plutôt l'impression que si les "ummites" ont du situer leur histoire si loin, et endosser un cambriolage si farfelu, c'est qu'ils avaient besoin de prouver ultérieurement leur arrivée. Ce cambriolage insolite non élucidé venait à point nommé.
Il y a des gens pour prétendre que les "ummites" n'ont aucun sens de l'humour. Ce n'est vrai que si on prend leurs textes au premier degré (de vrais extraterrestres, à la philosophie aride et à la technique absconse). Notes et références Cette histoire, jusqu'à la "transgression" commise, est racontée dans cinq lettres reçues par Enrique Villagrasa, de Madrid, du 23 janvier au 27 mars 1967. ( lettre D 57-1 à D 57-5 ) (1) "L'équipement radioélectrique du paquebot Normandie", La Nature n° 2968, 1 janvier 1936, p 25 (2) Radio Communications by Very Short Electric Waves, Nature n° 3305, 4 mars 1933, p 292 (3) Mécanique Populaire, novembre 1965 |
Dernière mise à jour: 28/04/2019
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