Cette reproduction, parue en 1948 dans L'Astronomie, les astres, l'univers de Lucien Rudaux, et déja publiée par le même auteur en 1937, dans Sur les autres mondes, ne fait que reprendre celle de Foerster, mais elle introduit une référence explicative qui fera date:
Il ne s'agit plus de la vision d'un pélerin découvrant le séjour de Dieu, mais de la découverte par un voyageur du secret de la mécanique céleste. On est passé de la théologie à la cosmographie, du mystique au rationnel. Cette interprétation, bien en accord avec son époque, aura un certain succès, et la phrase de Rudaux figure in extenso dans le dictionnaire Larousse d'Astronomie de 1966
L'ouvrage de Lucien Rudaux, très bien fait, et réédité, est bien plus connu que le couteux ouvrage de Kraemer, avec le chapitre de Foerster. C'est surtout de Rudaux que seront reprises les nombreuses occurrences françaises de la version sans cadre, apparue en 1906
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