La recherche de Neptune Après la découverte d'Uranus, les astronomes se mirent à chercher d'autres planètes plus lointaines. Si les anciens ne connaissaient pas Uranus, ils n'auraient jamais pu voir Neptune ... Le directeur de l'Observatoire de Paris de l'époque François Arago, demande à Urbain le Verrier d'étudier l'orbite d'Uranus. Ce dernier accepte et émet l'hypothèse d'une huitième planète en se servant de la loi de Titius-Bode.
Le Verrier avait établi un modèle de mouvement d'Uranus à partir des lois de la dynamique et de la gravitation universelle. la mécanique céleste étant la science exacte par excellence du siècle d'Auguste Comte, il était probable que ni les observations minutieuses des astronomes, ni les calculs des mathématiciens n'étaient entachés d'erreur. La découverte effective En 1845, John Couch Adams calcule la masse, l'orbite et la position de cette planète qui reste néanmoins invisible. Adams recherche mais c'est l'astronome et mathématicien Urbain Le Verrier qui le 23 septembre 1846 découvrira à l'observatoire de Berlin la planète. En septembre 1846 il demanda à Johann Gale de Berlin de pointer son télescope en un endroit très précis du ciel. Ce dernier repéra le corps " x " en moins de 90 minutes. La « légende » raconte que Le Verrier refusa de regarder dans l'appareil, sachant que le corps " x " était bien là. Galle, après quelques recherches infructueuses menées à l'aide de l'astronome allemand Heinrich Louis d'Arrest, découvrit effectivement le 23 septembre 1846, en collaboration avec ce dernier, un astre inconnu Cette planète a été découverte basée sur les calculs de Le Verrier et de Adams. Ce qui constituait un remarquable succès de la mécanique céleste puisque Neptune est invisible à l’œil nu. Mais cet observatoir ne possédait pas à l'époque de catalogue d'étoiles précis sur la région du ciel où Adams comptait observer, l'obligeant alors à faire plusieurs nuits d'observations pour déterminer si un objet est en déplacement. Ce temps perdu lui coûta la paternité de Neptune de très peu. Neptune fût découverte en septembre 1846 par l'astronome allemand Galle. Avant lui, Neptune était connue, mais curieusement prise pour une étoile. Elle a été découverte indépendamment par l'astronome allemand Johan Galle (le 23 septembre 1846), et par les astronomes Urbain Le Verrier et John Couch Adams qui avaient prévu par calcul la région de l'espace où on pourrait la trouver. L'astronome Le verrier né en 1811 à St-Lô en France, à la suite d'observations menées par John Couch Adams un jeune étudiant qui par une série de calculs localise la planète qui perturbe l'orbite d'Uranus. Quelques mois plus tard il fait part de ses découvertes à son professeur, John Chalis qui les transmet à l'astronome George Airy. Il ne fit pas entreprendre de recherches, alors que Mr Le Verrier entreprit une recherche étoile par étoile pour enfin finir par découvrir une étoile de magnitude 8 qui s'avéra être la planète neptune La suite est connue : le 23 septembre 1846, Galle pointa son télescope dans la direction indiquée par les calculs de Le Verrier, et il observa les signaux lumineux envoyés par un objet céleste de magnitude 8, non marqué sur les cartes du ciel. Adams, John Couch ... On a la première fois observé Neptune par Galle et dArrest sur 1846 septembre 23 très près aux emplacements indépendamment prévus par Adams et Le Verrier des calculs basés sur les positions observées de Jupiter Saturne et Uranus John Aciams en Angleterre et Urbain Le Verrier en France calculèrent la position de l’astre responsable. Le Français fut plus prompt à transmettre ses prévisions aux observatoires 24) a) et b) Je crois que la plus grandes réussite de la théorie newtonienne est le calcul de l'existence de uranus (neptune a ete decouverte par William Herschel en fouillant systematiquement le zodiaque, en 1781); le calcul est du a Adams (1843) et la découverte de la planète (quelque années plus tard) a été faite par Le Verrier. Les astronomes de Paris, en revanche, sachant qu'à Berlin la zone d'intérêt avait été entièrement cartographiée dans l'Akademische Sternkarte, un atlas céleste assez précis incluant des étoiles d'assez faible luminosité, décidèrent de communiquer aux astronomes allemands la position de la planète présumée afin qu'ils vérifient si un astre quelconque s'était déplacé dans cette région du ciel. Dans la soirée du 23 septembre 1846, le jour même où la recherche avait commencé à Berlin, Johann Galle remarqua la présence d'un astre relativement brillant là où la carte ne signalait rien. Immédiatement observé par Johann Encke avec le télescope équatorial de l'observatoire local, le nouveau corps céleste apparut sous la forme d'un disque dont il fut même possible d'observer le déplacement sur l'arrière-plan étoilé au cours de cette nuit.
Une légende moderne: Adams et Leverrier ont travaillé ensemble (Rappelons que Le Verrier envoya ses calculs à Galle, et qu'Adams, qui ne connaissait pas Galle, attendit un an pour que Challis commence les observations) L'astronome allemand, Johan Galle, découvre la huitième planète du système solaire. Le français Urbain Le Verrier lui avait envoyé le résultat des calculs réalisés avec l'anglais John Adams concernant la position de la planète. C'est donc grâce à ces deux scientifiques que Galle réussi à situer avec exactitude l'emplacement de Neptune par rapport à Uranus. Quelques jours plus tard, Johann Gottfried Galle (1812-1910), astronome allemand, à l'aide des informations fournies par Le Verrier et Adams, fut le premier à observer la planète. Elle fut découverte par l'allemand J. Galle en 1846 d'après les calculs de J.C. Adams et d'Urbain Le Verrier. Neptune a été découverte en 1846 par l'astronome allemand Galle après avoir prévu sa position grâce aux calculs de Le Verrier et d'Adams. L'astronome allemand Johann Gottfried GALLE découvre la planète Neptune sur les indications de l'astronome français Urbain-Jean-Joseph LE VERRIER et de l'astronome anglais John Couch ADAMS qui avaient prévu son existence et sa position par le calcul. La découverte en 1846 de la planète Neptune par Galle, à partir des prévisions théoriques de Adams et Le Verrier, est une illustration de cette demarche dans le cadre de la theorie des perturbations du problème à 2 corps en mécanique celeste. 31 août : Intrigué par les perturbations de l'orbite d'Uranus, l'astronome français Urbain Le Verrier (1811-1877) prédit et calcule l'existence d'une planète non encore découverte. Deux disciples de Francois Arago, John Couch Adams et Urbain Le Verrier, sur ses propres conseils entament en 1841 le calcul des caractéristiques que devrait posséder «l’objet » qui perturberait Uranus s’il existait. La date de la découverte La découverte de Neptune s’est fait en 1846, mais en 1800 déjà, deux jeunes astronomes, John Couch Adams en Angleterre et Urban Le Verrier en France, avaient pressenti son existence. C’est en étudiant la trajectoire d’Uranus qu’ils ont constaté que la planète semblait attirée hors de son orbite par quelque chose. Par divers calculs, ils ont même évalué sa position probable, et 46 ans plus tard elle à été découverte presque exactement à cet endroit. Planète prédite indépendamment par Adams (1825) et Leverrier (1846) et découverte par Gall (1846). En 1840, l'astronome français Urbain Le Verrier annonce que ces irrégularité sont dues à une 8ème planète et publie la position de cette planète. Les calculs ...la France a gagné. Une nouvelle planète est née : Neptune... Le Verrier se lance en 1844 dans le calcul des caractéristiques de cette nouvelle planète (masse, orbite, position actuelle) à l'aide des lois de Kepler En janvier 1843, John ADAMS, étudiant anglais calcule la position de Neptune grâce à la loi de Titus-Bode. Pour l’Indien, les calculs d’Adams eussent été suffisants pour prouver l’exis-tence de Neptune ; la lunette de Le Verrier était superflue. La précision des calculs (Rappelons que la distance angulaire entre position calculée et observée était de plus d'un degré, et la différence de longitude de 52' ) le 23 septembre Galle pointe sa lunette Fraunhofer sur le lieu calculé et découvre une planète à 8 minutes de degré de l'emplacement prévu. Le 23 Septembre, Johan GALLE, à l'Observatoire de BERLIN en prend connaissance, et, la nuit même, observe l'objet prévu par le calcul à 3 minutes d'arc de la position calculée. il s'adressa à un ami (Galle ) qui découvrit la planète à 52'' de la position indiquée par Le Verrier, le 23 septembre 1846. Le 23 Septembre 1846, elle fut pour la première fois observée par Johann Gottfried Galle (le jour même où Le Verrier lui transmit ses résultats !) et Louis D’Arrest à 52" de la position calculée précédemment, ce qui est infime. Dès 1830, la position d'Uranus dans le ciel différait de 20° de celle prédite par les tables de bouvard L'orbite Des observations ultérieures ont montré que les orbites calculées par Adams et Le Verrier divergent assez rapidement de l'orbite actuelle de Neptune. En fait, l'orbite de Neptune était un peu différente de celle calculée, mais les observations d'Uranus disponibles ne permettaient pas une meilleure précision. Les astrologues s'en mèlent A noter que Le Verrier avait dans son Thème de naissance, hormis une conjonction Soleil-Pluton en Poissons qui lui donnait le goût de la recherche, un Jupiter en XII carré Mercure, aspect que l'on retrouve sur la carte du ciel de la découverte de Neptune. Mercure symbolisant l'étudiant, Jupiter la Providence, il a fallu cette difficulté -le carré- pour que la découverte ait lieu Le Verrier fit un rêve où il vit le dieu Neptune, le menaçant de son trident, lui ordonnant de donner son nom à la nouvelle planète. Neptune, dieu de la mer, fut domicilié tout naturellement dans le signe des Poissons. S'agit-il d'un hasard ou d'un ordonnancement des hasards si Le Verrier, né le 11 mars 1811 est lui-même natif des Poissons et que Adams, né le 5 juin 1819 en Cornouaille à 1 heure du matin est doté d'un Ascendant aux Poissons et d'un Neptune dominant au zénith ? Découverte le 25 septembre 1846 par le chimiste français Urbain Le Verrier puis après, et pourtant avant, par le britannique John Couch Adams Une pièce d'anthologie ... Le Verrier tabla que l’astre transuranien devait se trouver à 36 fois la distance Terre-Soleil (en réalité, Neptune se trouve à 30 fois cette distance), ce qui aurait permis de déduire grosso modo sa durée de révolution sidérale si l’orbite du nouvel astre n’était pas trop elliptique. Bien entendu, Le Verrier n’en savait rien... Le pifomètre et le télescope Il lui fallut donc faire des paris sur l’inconnu pour évaluer les caractéristiques astrométriques de l’astre hypothétique. Il y alla donc au pifomètre, en se fiant à son intuition, ce qui n’est pas très scientifique mais qui lui permit de faire sa découverte. Il décida que l’orbite de Neptune n’avait pas d’inclinaison par rapport au plan de l’écliptique (en réalité, Neptune est incliné de 1°78’, ce qui est négligeable), que son orbite était quasi-circulaire (exact, son excentricité n’est que de 0,00855) et que sa masse était 32 fois plus importante que celle de la Terre (complètement faux : elle est en réalité 17,2 fois plus massive). Le 31 août 1845, il annonce à l’Académie des Sciences que la position actuelle de l’astre se situait à 326°32’ de longitude écliptique, soit 25°32’ Verseau. Le 18 septembre, il expédia un courrier à un astronome de l’observatoire de Berlin, spécialisé dans la cartographie stellaire de la zone écliptique, afin qu’il braque un télescope dans cette direction. Et pour finir, NOSTRADAMUS! Le quatrain IV 33 : la découverte de Neptune Juppiter joint plus Venus qu'à la Lune Paradoxalement, ce quatrain qui mentionne explicitement le nom de Neptune, reste énigmatique, puisqu'il se rapporte à une date de découverte, qui n'est pas celle généralement admise. Le thème de la découverte de Neptune est dressé pour le 8 août 1846, observatoire de Northumberland, 0h (minuit), à une date, choisie par Ionescu (et qui l'aurait été par Nostradamus), intermédiaire entre les 4 et 12 août 1846, jours où la planète a été observée, à deux reprises donc, par l'astronome anglais James Challis (selon Nigel Calder, The comet is coming, New York, The Viking Press, 1980; réf. Ionescu). A cette date, symbolique, la planète, conjointe à la Lune, est dans son état d'occultation. En outre l'écheveau de circonstances particulièrement troublantes qui accompagne sa découverte s'accorde assez bien au caractère astrologique de la planète, et le dossier contenant la correspondance entre George Airy et John Adams (et qui pourrait renseigner sur le rôle de James Challis dans la découverte de Neptune) aurait disparu des archives de l'observatoire de Greenwich. |
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