1982 M. Guillet copie les sottises de Patrice Gaston   Chronique de Lyon     "...Charlemagne disait que ces êtres cosmiques où sylphes et leurs engins étaient capables de déchainer les tempétes, il rendit des édits en accord, avec louis le débonnaire, qui condamnaient à la torture et à la mort ces sylphes ou "tyrans de l'air".     Le 1er chapitre des "capitulaires de l'empereur" est significatif à l'égard de ces entités cosmiques et des activités dont elles étaient responsables. Il nous apprend que les "aériens" étaient boulversés de constater qu'ils répandaient la terreur dès leur apparition dans les cieux. Cela les incita "à se saisir des hommes et des femmes”. Ils voulaient les instruire "pour dissiper la mauvaise opinion que les gens avaient de leur innocente flottille". Avec méthode, ils emportèrent des gens de chaque village pour ensuite les déposer dans diverses parties du monde.     La psychose créée parmi la population, par les bons soins des autorités, condamna ces infortunés que l'on vit redescendre des vaisseaux.     Le nombre est incroyable de ceux-là qui furent mis à mort par le feu et l’eau de par tout le "Royaume".     "Un jour à Lyon, trois hommes et une femme furent aperçus descendant de ces navires aériens". En vain, les malheureux racontèrent "qu'ils avaient été emportés par des hommes miraculeux qui leur avaient montré des merveilles inouies et avaient désiré qu'ils vinssent raconter ce qu'ils avaient vu".     L'archevèque de Lyon, Agobard (779-840) avait fait lui-même une enquête et refusait d'y croire. En sa présence il avait même fait lapider les trois hommes accompagnés d'une femme qui prétendaient être allés en Magonie en navire aérien.     ...Les observations des astronomes de la cour de Charlemagne, en 807, rapportèrent qu'une petite planète de la taille de Mercure, s'interposa entre le soleil et la terre durant huit jours.     Il y eut aussi quatre éclipses, trois de lune, une de soleil.     En 814, à la mort de Charlemagne, on ne voyait d'ailleurs qu'une éclipse de lune et de soleil, ce qui aurait tendance à prouver qu'en ce temps un activité intense se déroulait dans les passages du globe.         M. GUILLET. SOURCE: Lumières dans la nuit, n° 219-220, septembre-octobre 1982, "Courrier" p. 47. Remarques:   Pour rectifier les erreurs de ce texte, où il y a plusieurs sottises par ligne, il aurait fallu au moins trois lignes de notes par ligne de texte. Il n'y a que le titre (inventé) qui soit de l'auteur. Pour le reste, il a tout simplement copié tout ceci, dans Disparitions mystérieuses, de Patrice Gaston, pages 284 à 287. Et Patrice Gaston lui même ne s'était pas ruiné pour ses sources: C'étaient Les soucoupes volantes ont atterri, édition 1972, et Les Extra-Terrestres dans l'histoire, édition 1974, deux livres de poches de la collection J'ai lu, l'aventure mystérieuse, bourrés de stupidités. Ajoutons que Les soucoupes volantes ont atterri s'inspirait d'une édition anglaise de la fiction parodique de Montfaucon de Villars.