Jean Prieur |
l'édition 1989 |
Jean Prieur né à Lille, à l'aube de la guerre de 1914 est un ésotériste, et qui ne s'en cache pas
Après ses études au lycée Condorcet où il fait sa "Khâgne", Jean Prieur entre à l’Ecole des Sciences politiques. A l'aube de la seconde guerre mondiale, il est professeur de français et latin. En mars 1945, il est rédacteur au Journal Parlé de la Radiodiffusion Française, puis il est en Autriche à Radio Vorarlberg puis à Radio-Innsbruck, et s'occupe des émissions culturelles françaises à Radio-Vienne. Il occupe ensuite divers postes utilisant ses compétences littéraires, et qui lui permirent de rencontrer des philosophes comme Hermann de Keyserling ou Gabriel Marcel.
Après sa rencontre avec Marcelle de Jouvenel, il s'orienta vers la philosophie spiritualiste et se mit à écrire des livres, dont les noms se passent de commentaire: Swedenborg, Les Témoins de l’Invisible, Cet Au-Delà qui nous attend, L’Apocalypse, Les Morts ont donné signes de vie, Les Visiteurs de l’Autre Monde, L’Aura et le Corps immortel, Les Tablettes d’or, Le Livre des Morts des occidentaux.
C'est dans cet esprit qu'il rédige en 1982: Les symboles universels. A la lecture, hélas, On ne voit guère qu'une longue liste d'affirmations dogmatiques, sans démonstration, sans sources, et qui confine souvent à la tautologie, sans parler de la numérologie.
Voici, tiré de l'édition 1989, l'extrait qu'il croit provenir d'Ambroise Paré
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